Lorsque les journées sont trop chargées, que les réunions s’enchainent et les to-do-list à rallonge commencent à devenir anxiogènes, la délégation devient un enjeu majeur de bien être professionnel. Mais même si vous en êtes conscient, vous ne voyez pas comment différencier les activités délégables et celles qui doivent rester dans votre giron? Alors comment s’en sortir?
Le défi de la gestion du temps
Prenons l’exemple de Coralie, qui comme beaucoup d’autres professionnels, se retrouve dépassée malgré ses efforts pour mieux gérer son emploi du temps. Entre les réunions incessantes et une to-do list qui s’allonge, même les outils comme la matrice d’Eisenhower semblent inefficaces. Pourquoi ? Parce que cet outil souvent enseigné et résumé en quelques mots, ne peut révéler toute sa puissance que si Coralie se pose la question clé qui lui permettra de l’utiliser correctement.
Une question toute simple : « Est-ce Coralie-dépendant ? »
Autant l’axe « Urgent » est souvent correctement utilisé, comment sélectionner les sujets important? Après tout pour Coralie si ces sujets sont identifiés pour elle c’est qu’il son forcément importants! La clé pour Coralie a été une question toute simple : « Est-ce que cette action est Coralie-dépendante ? ». Ce filtre lui a permis de :
- Redéfinir ses priorités en fonction de ses compétences uniques.
- Identifier les tâches routinières ou secondaires pouvant être confiées à d’autres.
- Faire la paix avec l’idée qu’elle doit tout gérer.
Grâce à ce nouveau filtre, elle a pu rapidement identifier :
- Les tâches à déléguer aux membres de son équipe
- Les réunions non essentielles, auxquelles elle n’ira plus systématiquement ou plus du tout
- Apprendre à dire non avec assertivité.
Le Pouvoir de Déléguer Sans Culpabilité
En adoptant ce réflexe, Coralie a gagné en clarté, en efficacité, et surtout, en sérénité. Déléguer n’est plus un renoncement, mais un choix stratégique.